Mathieu Sarrot, fondateur d’Ultim Sailing, co-organisateur du Trophée Banque Populaire Grand Ouest – Sur la Route des îles du Ponant :
« La dimension de transmission est l’essence même de l’évènement qui s’inscrit dans le cadre de l’Académie Figaro Bénéteau. Nous sommes très heureux que la Banque Populaire Grand Ouest et les collectivités nous accompagnent dans ce projet. La CCI MBO est particulièrement moteur sur le territoire et nous apporte tout son soutien. Durant ces quatre prochains jours, différentes tables rondes seront organisées à terre, dans un espace dédié. Le partage et l’échange seront au cœur des débats, tout comme à bord des bateaux. C’est une vraie satisfaction car il s’agit de la première course produite et développée par Ultim Sailing. Nous sommes ravis d’accueillir des tandems incroyables. Tous vont en découdre sur une course de 800 milles, un format atypique qui regroupe cependant les marques de parcours un peu classiques, avec de vraies difficultés techniques et très certainement d’importants passages à niveau. C’est parfait pour l’apprentissage des jeunes. »
Emmanuel Bachellerie, fondateur d’Ultim Sailing, co-organisateur du Trophée Banque Populaire Grand Ouest – Sur la Route des îles du Ponant :
« La classe Figaro Bénéteau a pris un pari en lançant son Académie. Pour nous, elle est une très bonne solution pour attirer les jeunes et leur mettre le pied à l’étrier. Nous sommes heureux de voir tout le monde ravi, que ce soient les partenaires ou les skippers qui ont la banane et sont impatients de partir. La notion de transmission qui nous est chère l’est aussi pour les collectivités, tout comme le fait de promouvoir et de mettre en valeur les îles du Ponant. Le parcours va permettre aux marins d’en parer 13 d’entre elles. Sportivement, cela va être passionnant à suivre, avec de très nombreux passages à niveau. Ce n’est assurément pas un hasard si l’on retrouve au départ de grands navigateurs tels que Yann Eliès, Pascal Bidégorry, Boris Herrmann ou Erwan Tabarly. S’ils sont là effectivement pour partager leur expérience avec les plus jeunes, ils sont là aussi pour jouer. A terre, le programme ne sera pas moins dense que sur l’eau. Avec Mathieu, nous avons voulu exploiter l’espace pour valoriser nos partenaires mais aussi créer un écrin destiné à favoriser le dialogue entre les institutions publiques et les entreprises privées. »